Comment choisir son televiseur LCD

Pour les fêtes avec ma chérie on a décidé de se faire un ptit cadeau. On a décidé de s'offrir une vraie télé. Parce que faire le beau avec mon kit 5.1, c'est mieux avec une télé qui fait pas aussi ridicule dans notre salon que Jar-Jar Binks dans un épisode de Star Wars.

Du coup, on a sauté le pas et on est entré dans le monde de la télévision LCD. Sauf qu'au final, j"y connaissais pas grand chose. Il a donc fallu que je regarde tout ça d'un peu plus près pour qu'on évite de se faire arnaquer comme des bons pigeons.

Première chose, comparer les caractéristiques avec ce qui est comparable. A savoir les téléviseurs de la même catégorie, de la même taille. Pour notre part, on est parti sur du 32" (82 centimètres).

La résolution est une caractéristique importante à prendre en compte, étant donné que l'on est à l'heure de la HD (un des arguments principaux de ces gentils commerciaux). On trouve deux catégories : les HD-Ready et les Full-HD. Pour ce qui est des HD-Ready, ce ne sont en fait pas de vrais écrans HD. La résolution est juste assez bonne pour afficher correctement des vidéos HD. Par exemple, l'écran que nous avons choisi a une résolution de 1366 x 768. Une télévision Full-HD aura une résolution bien supérieure de 1920 x 1080. Ce qui correspond à une résolution pour de la vraie HD. Les écrans Full-HD sont évidemment vachement plus chers et il vous faudra probablement vendre un rein (voire deux) pour vous en payer un. Sauf si vous êtes riche, mais à ce moment là, fermer les yeux et prenez le plus cher, sale con.

La connectique est évidemment importante, pour les équipements que vous souhaitez connecter à votre belle télé toute neuve. Pour nous, deux prises péritels, deux prises HDMI, une prise VGA, et tout un tas d'autres trucs. En sachant que ceux que j'ai cités sont les seuls qui m'interessaient réellement. Pour les connectiques de son, les prises pour le 5.1 sont présentes sur mon lecteur DVD, donc pas de soucis à ce niveau là.

Au niveau du son de base, les enceintes présentes sur le téléviseur ont une puissance de 2x10 w. Et la qualité est largement supérieure à ce à quoi je m'attendais. De toute façon je ne crois pas avoir vu un téléviseur en dessous de 2x10 w pour le son.

Au niveau de l'image, un point important à regarder est le contraste. Si le contraste est trop bas, vous aurez l'impression d'avoir un voile blanc devant l'image. Alors qu'avec un contraste plus élevé l'image et plus particulièrement les couleurs seront mieux rendues à l'écran.

Pour ce qui est des technologies souvent citées dans les caractéristiques des écrans (Bravia Engine, ...), une recherche sur le net vous en dira plus. Et même si on ne comprend pas forcément les avantages et les inconvénients de ces technologies, propre à chaque marque, rien de tel qu'un coup d'oeil en magasin.

C'est en fait un mélange de tout ça qui fait un bon écran. En effet, ce n'est pas parce qu'un téléviseur possédera un contraste de 30000:1 que la qualité d'image ne sera pas meilleure sur un téléviseur possédant un contraste de 15000:1.

Comme je l'ai dit la meilleure chose à faire selon moi est de se faire une idée en allant regarder tout ça en magasin. Et ne pas commander sur le net sans avoir vu ce que ça pouvait donner. Si vous envisager d'acheter un téléviseur de 1000€ ou plus, n'hésiter pas à demander à un vendeur de vous brancher un lecteur DVD ou Blu-Ray dessus pour voir ce que ça donne. A ce prix là, il serait con de refuser et louperait une bonne occasion de vous vendre quelque chose. Un bon truc est également de leur dire que vous n'y connaissais absolument que dalle. Comme ça lorsque le vendeur va essayer de vous vendre une télé en vous vantant ses mérites, vous vous rendrez vite compte s'il vous raconte des conneries.

Nous, nous avons craqué pour le Sony Bravia KDL-32L4000. Un bien bel écran avec une bien belle qualité qui poutre du poney.

La chanson du Geek de la semaine 6

Pas de chanson du geek la semaine dernière pour cause de vacances et de manque de temps, tout simplement.

Pour cette nouvelle semaine du Geek, une fois n'est pas coutume ce sera un ptit rap d'un mec que je ne connaissais pas : Orelsan. Sa chanson, Changement, n'est pas une chanson de geek à la base, mais elle est résolument orienté geek life (même s'il généralise un peu pour tous les jeunes).

Nouveau design

Ayé ! Le nouveau design est en place de façon plus ou moins définitive. J'ai tenté de mettre un autre design en place, un peu plus classe, mais un peu plus casse couille à modifier au niveau du code. Ce qui ne m'a valu que des erreurs XML, donc ce sera ce design là.

J'en profite pour tester quelques nouvelles fonctionnalités (nouvelles pour moi après l'upgrade du blog), comme le sondage dans la sidebar sur votre avis sur ce nouveau design.

Pour ce qui est du design et donc des templates Blogger, une bonne liste est disponible ici.

En construction

Si vous débarquez sur ce blog aujourd'hui, vous allez constater une chose : il est moche. Ceci est normal. Je suis en pleine migration au niveau du thème.

Je viens donc d'effectuer une mise à niveau au niveau des thèmes de Blogger, ce qui m'a supprimé toutes les modifications que j'ai pu faire jusqu'à aujourd'hui. Le thème va changer, les fonctionnalités présentes dans la sidebar également.

Donc, si tout est moche et que tout est en bordel, pas de panique, c'est normal. Pour l'instant.

Joyeux Noel à tous !

Voilà, tout est dit...

Darkos et les Etudiants

"Sarko enculé", "Darcos fils de chien !", "après la manif on se bourre la gueule ? ou même pendant...".

Les manifs lycéennes et étudiantes c'est souvent n'importe quoi. Bien que le fond soit, la plupart du temps, honorable, les insultes et les mecs se baladant avec des packs de Kro à la main au milieu des manifs décridibilisent complétement tout ça sur la forme. C'est dommage, c'est pourtant pas dur de militer avec un peu d'humour sans faire son gros rebelle de la life :

Je n'ai personnellement jamais participé à une manif lycéenne ou étudiante. Mais je sais que je l'aurais fait bien volontier si ces manifs n'étaient pas remplies aux 3/4 de mecs qui en profitent pour glander ou juste pour mettre la rue en vrac...

Illustration : L'actu en patates de Martin Vidberg

La chanson du Geek de la semaine 5

Pas d'Internet, mais heureusement, rien n'arrête la chanson du Geek. Surtout qu'Antoine réclame.

Cette semaine, une chanson culte. Michel, c'est un ingénieur informaticien qui fait des chansons à la con dans le style de Didier Super. Celle-ci est devenu culte il y a quelques années. Le clip fait un peu peur, mais on lui pardonne. Il est con.

I'm fuckin' damned

Aujourd'hui, c'était le grand jour. Un jour important. Le jour du rendez-vous avec les messieurs de chez Numéricable. Deux techniciens, wesh style, à peine bonjour, ils rentrent dans notre salon comme si c'était chez eux. Ok. I've a bad feeling about this...comme dirait l'autre.

Bref, passons. Je discute vite fait avec eux, tu m'installes le net ok, mais franchement pas moyen de toucher à la prise télé gros. Question de responsabilité vis à vis de la proprio. Du coup....ahah ! Dans le cul. Clair et net. Pas de net.

Un coup de fil à son patron, coup de fil à la proprio de notre côté. Au final, il faudrait percer les murs dans les communs et dans l'appart pour faire passer un câble et installer une prise en parallèle de celle déjà existante (solution qui conviendrait à tout le monde).

Mais la vie c'est plus compliqué que ça (surtout quand on est une rockstar). Puisque pour percer des trous dans le couloir de l'immeuble, il faut l'accord du syndic. Ce qui implique deux-trois petites choses : contacter le responsable de l'immeuble, qu'il voit avec les voisins et autres co-propriétaires, faire une réunion avec tous ces gens là, que la majorité absolue soit d'accord, et à ce moment là, et seulement à ce moment là on pourrait envisager d'installer ce putain de câble, pour avoir ce putain de net.

Donc en fait, là j'ai juste la rage. Je pense que je n'aurais jamais le net. Plus jamais. Le web, tout ça, c'est fini pour moi. Plus de connexion. Je réfléchis, je cogite, je suis prêt à envisager n'importe quelle solution, mais je trouve pas.

Je pense que je vais me pendre avec le câble de ma souris, et puis après on verra.

Adieu...et à bientôt sur le net (d'une façon ou d'une autre !)

EDIT : Malgré le très gros ralentissement de ce blog, dû à la loose qui me poursuit et me colle à la peau comme une vieille merde, je constate que plein de gens continuent à venir voir si y'a du nouveau dans le coin tous les jours. Je tenais juste à remercier ces gens là. Et les autres, ben forcément je les emmerde.

Neuf, ou comment se faire prendre pour un con

Mon parcours chez les différents fournisseurs d'accès internet (FAI) est assez varié. J'ai commencé chez AOL en 56k (erreur de jeunesse), puis passage à l'ADSL 512k chez Cegetel (les moins chers à l'époque), puis Cegetel s'est fait racheter par Neuf, me voilà donc depuis ce rachat chez Neuf (en ADSL Max) qui vient lui même de se faire racheter par SFR.

Je n'ai jamais eu de problème particulier avec Neuf. J'ai toujours été relativement satisfait de la qualité de connexion. Que ce soit chez ma mère à Thionville, ou dans mon appart d'étudiant à Bar le Duc.

Mais me voilà maintenant à Nancy depuis 3 mois dans un nouvel appartement avec ma chérie. J'ai donc demandé cet été un déménagement de ma ligne de Bar le Duc à Nancy. Après un ballotement administratif entre Neuf et France Telecom, de multiples prise de tête avec l'un et l'autre, la connexion arrive enfin, au bout de 3 mois...

Mais non, ce n'est pas fini ! Sinon ce ne serait pas rigolo. Au bout de même pas un mois, pouf ! Plus de Net.

"- Allô Neuf ? Ouais c'est quoi ce bordel ?
- Ah c'est normal monsieur, y'a plus de place sur le DSLAM, faut refaire une demande d'ADSL dans un mois.
- Comment ça normal ?"

Mouahahahah. Là c'était trop. La NeufBox aurait pu passer en orbite autour de cette putain de planète tellement j'aurais pu l'envoyer loin, plein de rage que j'étais. Mais non, parce que je suis vraiment trop calme comme mec, je me suis donc d'abord défoulé sur quelques saloperies de bots de merde à Urban Terror pour evacuer la colère qui m'envahissait (car tout le monde sait bien que la colère mène à la haine, que la haine mène à la souffrance et que la souffrance mène au côté obscur...).

Finalement deux-trois redémarrages de la Box et hop, je me suis refait une place sur le DSLAM. Et je me disais que je les avais bien niqué. Mais non.

Deux ou trois semaines plus tard, rebelotte. Et même après deux ou trois-cents redémarrages, rien à faire. Là je n'en pouvais plus, je suis descendu dans la rue...et j'ai buté le premier mec qui passait à coups de pelle (la faute aux jeux vidéos sans doute...).

Aujourd'hui me voilà avec une belle lettre d'insultes de résiliation au nom de Monsieur Neuf/SFR. Me voilà également comme un brave, marchant en direction d'une agence Numéricable, fébrile mais malgrès tout sûr de moi. Le vent et la pluie ne m'arreteront pas. Même pas le tram qui tente de me rouler dessus, je réussis à l'arreter d'une seule main, le regard de glace (c'est ça la vie d'un héros/rockstar).

Aujourd'hui, je prend rendez-vous. Rendez-vous avec une vraie connexion Internet.

Fou que tu es, allez vous me dire, il y a plein de problèmes chez Numericable. J'ai envie de dire : peut-être. Mais je m'en fous, je suis à bout, il me faut du flux RSS. Et franchement, je ne connais pas un seul FAI chez lequel il n'y a pas un pov' gars comme moi avec une histoire de merde dans le même genre. Ils ont tous essayé et continueront d'essayer d'arnaquer quelques clients.

Me revoilà donc bientôt dans les sombres recoins d'internet...d'ici à ce que j'ai des problèmes avec Numéricable.

Saison 3 de Nerdz sur NoLife TV

Je vous en parlais ici, la série la plus geek de toute la terre, Nerdz, a repris pour une nouvelle saison pleine de lol, sur la chaîne NoLife. Vendredi dernier a été diffusé l'épisode 2 de cette nouvelle saison qui, grande nouveauté, s'est retrouvé dès le samedi matin sur l'internet !

En effet, pour l'équipe de Nerdz la diffusion de leur série sur le net se définie comme suit : "puisque de toute manière les épisodes se retrouvent sur le net, autant les mettre nous même plutôt que de les voir uploadés par des mecs avec une qualité pourrie".

La chanson du Geek de la semaine 4

Une chanson à peine plus sérieuse que les autres semaines avec I love my computer de Bad Religion. Désolé pour les non anglophones, mais vous pouvez toujours trouver les paroles ici, et même une traduction ici.

Non mais lol, ou l'enfer du skyblog

Il y a peu, j'ai un ami qui m'a dit suite à cet article : "ton blog, ça tourne un peu au skyblog". Ça m'a fait mal, vachement mal. Ce qui peut blesser un geek au plus profond de son kernel c'est que son oeuvre personnel, quelque soit sa forme, soit comparée à un skyblog. Ça, ça troue le cul.

Depuis, j'ai bien évidemment enterré cet ami dans un terrain vague après l'avoir étranglé, mis une balle dans le ventre, pendu, mis quelques coups de pelle dans la gueule et enfin lui avoir inscrit "owned" sur la gueule au feutre indélébile.

Tout ça pour un "lol", et un "mdr" laché comme ça ironiquement. C'est justement ce qu'il n'avait pas compris, l'ironie. Car oui, comme tout un tas de gens je suis abruti par la connerie, abruti par les gens, abruti par les "lol".

Le virus du "kikoo lol" a en fait proliféré dans un monde bien particulier, celui des skyblogs. Pour résumer en un mot, les skyblogs, c'est mal. Je généralise, mais j'assume. Quand on écrit avec des fautes d'orthographes dans google, on tombe sur des skyblogs. Ce qui résume plutôt bien la situation.

Pour reprendre une citation de Bashfr : "lire un skyblog, c'est un peu comme regarder un train dérailler... c'est horrible, mais tu regardes quand même".

À l'image d'une certaine Élodie, on peut faire un grand pas et migrer d'un skyblog à un véritable (au sens développement web) blog.

Au delà du contenu rédigé par l'auteur, c'est avant tout, pour moi, une véritable bouse graphique. Non seulement les gens parlent en SMS, mais même sans ça, c'est horrible. Le plus beau reste encore de ne pas personnaliser son skyblog et le laisser presque nu, le plus simple possible.

Tout ça pour dire, non, je ne tourne pas au skyblog. L'ironie est peut être trop subtile, mais elle fait toute la différence.

Pitié, dites moi que je vaux mieux que ça :s

Test du Samsung NC10

Voilà la ptite bête est là. A peine le temps d'aller le chercher, aussitôt déballé. Un Samsung NC10, écran 10 pouces, 1 Go de RAM, 160 Go de disque dur et processeur ATOM 1,6 Ghz.

Quand on m'a tendu la boîte à la Fnac, je me suis surpris tout seul à trouver l'emballage étonnament petit pour un PC portable. Pourtant les netbooks sont maintenant répandus et la boîte de mon EeePC devait être encore plus petite. Mais quand même ça, surprend toujours.


On déballe tout ça, on emboîte la batterie, on branche le tout, c'est parti pour la première charge à bloc. Premier constat, le poids, pas beaucoup plus lourd que mon EeePC 900, faut vraiment être frêle pour ne pas supporter les 300 grammes de plus que le modèle 9" d'Asus.

Une fois la protection enlevée sur le dessus, la finition du "capot" est assez bien réussie. Un beau blanc mat, pas d'effet brillant qui laisse des grosses traces de doigts bien crades.

La housse de transport fournie avec le Samsung ne nous a par contre pas vraiment convaincu. Assez fine, elle ne fait pas très anti-chocs et le rabat ne se ferme ni avec un bouton ni avec un scratch. Il ne se ferme pas. Point.

Au démarrage, la mise en route classique de Window$ XP version netbooks. Nom d'utilisateur, langue du clavier, etc... Une fois tout ça paramétré, on se retrouve avec le logiciel de restauration de Samsung, qui nous demande de créer une partition de minimum 25 Go. Un beau gachis en somme, je ne me suis pas vraiment penché dessus mais j'ai toujours un peu de mal à comprendre leur système de restauration.

Pour le son, hop un petit test avec une musique. On lève le son pour mieux entendre. On lève encore le son. On met le son au max. Ah ben oui, le son crache vraiment pas beaucoup en fait. Etant donné la position des enceintes (en dessous du PC), Samsung aurait pu fournir des enceintes un peu plus puissantes. Ce n'est pas un point essentiel pour un netbook, mais on a quand même un peu l'impression d'être sourd.

Au menu des logiciels déjà installés : pas grand chose. Pas de suite Office, pas même un traitement de texte. Evidemment le logiciel de restauration, qui vous propose tout de suite de faire une sauvegarde. Un anti-virus, dont je ne me rappelle même plus le nom étant donné que je l'ai viré tout de suite pour en mettre un autre, AVG 8.0 pour être précis.

Et puis il y a le logiciel de Samsung pour gérer l'autonomie de la batterie. Il y a en fait 3 modes. Un mode performance, un mode normal et un mode économie. Suite à la première charge, en mode normal, en faisant un peu de surf, un peu de traitement texte, et même un peu de Xmoto (!), la batterie a tenue environ 7h. L'autonomie est un excellent point pour le NC10.


Au niveau ergonomie, le clavier est suffisament grand pour offrir une bonne frappe en traitement de texte. Le touchpad est lui assez petit, mais il est assez réactif et précis. La barre de défilement présente sur la droite du touchpad est elle aussi assez pratique.

En résumé, je dirais que j'ai été assez critique sur les points négatifs du Samsung, mais la pochette de transport, la suite bureautique absente et les enceintes trop peu puissantes sont quand même des points négatifs peu important par rapport à la qualité qu'offre le reste.
La transportabilité est excellente, l'ergonomie vraiment appréciable, les performances plus que suffisantes pour un netbook, quant à l'autonomie...n'en parlons même pas, elle explose tous les autres sur le marché.
Donc, une petite demi-heure d'installation pour mettre tout ce qui va bien (Firefox, Live Messenger, Anti-virus, une suite bureautique, ...) et y'a plus qu'à profiter.

Pour moi le NC10, c'est LE netbook du moment. A mon avis le meilleur sur le marché à l'heure actuelle.