22 juil. 2009

Darth Vader's Dance - MC Hammer 'You Can't Touch This'

Non, non, non, non, non. Non...franchement, je pouvais pas laisser passer ça. Autant cette vidéo me fait bien rigoler, autant elle ruine l'image du plus grand méchant de l'histoire du cinéma en 47 secondes.

Franchement, c'est drôle. Mais franchement...non.



Bon, pis après tout ça ne fera qu'une connerie de plus dans les archives. De toute façon il va bientôt y avoir la séparation du siècle (ok j'exagère) : la séparation entre la connerie et le sérieux de ce blog. Oui, les choses "lolesques" d'un côté et les choses "pro" de l'autre. La décision est prise, une ère nouvelle, un blog nouveau.

Bientôt dans les bacs.

18 juil. 2009

Duke Nukem's disease, ou la maladie du Gamer

La maladie de Duke Nukem est maintenant reconnue. Cette terrible maladie qui touche de plus en plus de monde et qui vous donne l'impression d'être dans un First Person Shooter.

Il était temps de faire découvrir ce terrible fléau.

17 juil. 2009

Cours d'initiation à l'algorithme

Je vous disais dans ce post ci, que j'ai officieusement effectué un cours d'algorithme lors de mon dernier stage. Ce cours a été donné à une classe de Terminale STG. L'objectif pour eux est d'avoir des notions d'algorithme. Donc rien de bien compliqué.

Ils doivent savoir écrire un algorithme simple ou pouvoir en compléter un incomplet le jour de l'examen. Le cours reste donc relativement simple, c'est d'ailleurs pourquoi il s'appelle "cours d'initiation".

Le cours est disponible ici.

Je ne me destine absolument pas à l'enseignement mais j'ai trouvé l'experience vraiment interessante. N'hésitez pas à me donner des retours sur ce cours (compliments, critiques, insultes...)


La chanson du Geek de la semaine 11

16 juil. 2009

Installer Ntop sous FAN 1.1

Bien que Ntop ait été packagé pour la version 2 de FAN (Fully Automated Nagios), ceux qui utilisent la version 1.1 et qui galèrent comme j'ai pu le faire seront peut être content de tomber sur cet article.

On peut en effet installer NTOP sous FAN, tout en l'intégrant à Centreon. Ce qui est assez interessant pour pouvoir regrouper la majorité de la plate-forme sous une seule interface.


Installation de paquets :

Ces paquets sont à installer au préalable grâce à la commande yum install NOM_DU_PAQUET.
  • gcc
  • compat-gcc-34-g77
  • make
  • libstdc++-devel
  • gcc-c++
  • libpcap
  • libpcap-devel
  • gdbm-devel
  • gd-devel
  • openssl
  • openssl-devel

Installation de NTOP :

On télécharge le paquet à l'adresse suivante :
http://download.oreon-project.org/index.php?id=67

# cd /usr/share/centreon/www/modules
# tar -xzvf NTOP-1.3.tar.gz
# cd NTOP-1.3
# ./install

Pendant l'installation, le répertoire qui nous est demandé est le suivant :
/usr/share/centreon/

# cd ..
# cd ntop/
# cd ntop_src/
# tar -xzvf ntop-3.2.tgz
# cd ntop-3.2
# ./configure -prefix=/usr/local
# make
# make install

On définit ensuite un utilisateur :
# /usr/local/bin/ntop -u UTILISATEUR -A

Pour lancer NTOP :
# /usr/local/bin/ntop &

Dans le navigateur, en tapant http://IP_DU_SERVEUR:3000, si NTOP s'affiche, tout est bon. Il faut maintenant l'intégrer à Centreon.

Configuration de NTOP :

Dans l'interface web de Centreon : Options -> Modules -> ntop -> Installer le module.

Il y a certainement un bug à ce moment là (apparition d'un menu #UNDEF#). Il suffit simplement de redémarrer l'interface de Centreon. On quitte et on se log à nouveau.

On modifie maintenant les paramètres de NTOP : Options -> Options Générales -> NTOP.

Utilisateur : Celui qui a été définit lors de la commande /usr/local/bin/ntop -u UTILISATEUR -A
Mot de passe : idem
Protocole : HTTP
Port : 3000
NTOP URL : localhost
NTOP direct connection from Oreon Server : localhost
Interface par défaut : eth0
Chemin d'installation : /serv/ntop/
Script de redémarrage : /usr/local/bin/ntop
Arguments : laisser par défaut.


Dans le menu de Centreon, il n'y a plus qu'à cliquer sur NTOP et cela fonctionne.

Alors ? Elle est pas belle la vie ?

15 juil. 2009

No Future

14 juil. 2009

Free, mon ami !

Ça y'est ! L'impossible est arrivé : Internet. Voilà maintenant un mois que nous sommes relié au monde d'aujourd'hui.


Free, avec l'aide d'un gentil monsieur de France Telecom, a enfin réussi à nous raccorder au monde des Hommes. Ce que Neuf n'a tout bonnement jamais réussi à faire (enfin si, pendant deux semaines...pas plus). Notre demande chez Neuf pour avoir le net datant tout de même du 27 juillet de l'année dernière (soit 11 mois), j'ai envie de dire : il était temps.

Je commence donc à découvrir les avantages de ce FAI que je ne connaissais, ma foi, pas assez bien. Premièrement, Free possèdent ses propres techniciens, qui se déplacent chez vous. Et ça c'est bien.

"Ah non, pas chez vous ma ptite Gertrude, seulement dans les grandes villes".

Bah oui, faut pas déconner. C'est un service actuellement en phase de test. Mais l'avantage de cette phase, c'est que le service est offert.


Niveau installation, rien de plus facile. On branche la Freebox, on branche le décodeur pour la télé...on attend que l'heure s'affiche sur la Freebox, et hop ça roule !

"Et pour configurer la Freebox, comment qu'on fait ma ptite dame ?"

Ah ! Alors là c'est le sujet qui fâche. Pour configurer tout ça, il faut se rendre sur le site de Free, se connecter à son compte et enfin on accède à l'interface de gestion du bordel.

"Et donc.....si j'ai pas Internet ?"

Ahah ! C'est ça qui est drôle. Si on a pas le net, on ne peut pas vérifier la configuration de sa Freebox. Ce qui m'est d'ailleurs arrivé dès le départ. Après une fausse manip' sur la configuration, j'ai rebooté la Freebox, et hop plus de net.

Heureusement que mon fameux voisin partageur de Hotspot Neuf est toujours là. Je me suis connecté sur le net via ce hotspot et j'ai remis la config de la Box sans la boulette que j'avais parametré précédemment.

La configuration est donc le gros point négatif. Pour le reste ce n'est que du bonheur. Surtout quand on habite en plein Nancy et qu'on se retrouve avec du 16 Mb/s. Merci le téléchargement à la vitesse de la lumière, merci la télé en HD (prise HDMI sur le décodeur :) ), etc...

D'ailleurs, je trouve que le décodeur est le gros point fort de Free. Ils ont vraiment crée quelque chose de cool : disque dur de 40 Go integré (super pour enregistrer), possibilité de direct en différé, transfert de vidéos du PC vers le disque dur du décodeur (comme un disque dur multimédia au final), possibilité de se connecter au PC depuis le décodeur (je peux naviguer dans les répertoires de mon PC depuis la télé, même sous Linux puisque le tout est basé sur VLC, et lancer n'importe quelle vidéo), ... etc

En bref, je ne m'avancerais pas, cela ne fait qu'un mois que nous avons Internet, mais pour l'instant Free répond à toutes nos attentes.

Je garde cependant en tête que tous les fournisseurs se valent et qu'ils sont tous potentiellement capables de nous faire une bonne crasse. Ou comme dirait ma grand mère : un gros coup de pute.